IL ÉTAIT UNE FOIS LA BOURBOULE
La Bourboule est bâtie le long des rives de la Dordogne, à 850m d’altitude. Petite ville au charme Belle Époque, entourée de verdure, elle offre à quelques pas d’un centre ville animé, de nombreux itinéraires de randonnées, de ski de fond, de raquettes et circuits touristiques.
L’église Saint-Joseph de La Bourboule :
L’église actuelle de La Bourboule a été construite entre 1885 et 1888 par l’architecte Gardin, ancien maire de La Bourboule. Elle est fortement inspirée de la basilique d’Orcival. Elle est de style néoroman auvergnat. Elle a été construite en lave blanche agglomérée de divers matériaux volcaniques. 20 magnifiques chapiteaux ont été sculptés en 1941 par Henri Charlier, artiste bourguignon.
L’église Saint-Joseph de La Bourboule :
L’église actuelle de La Bourboule a été construite entre 1885 et 1888 par l’architecte Gardin, ancien maire de La Bourboule. Elle est fortement inspirée de la basilique d’Orcival. Elle est de style néoroman auvergnat. Elle a été construite en lave blanche agglomérée de divers matériaux volcaniques. 20 magnifiques chapiteaux ont été sculptés en 1941 par Henri Charlier, artiste bourguignon.
Le Thermalisme :
La ville est connue essentiellement comme station thermale. Le thermalisme bourboulien est spécialisé dans le traitement des affections des voies respiratoires de l’enfant et de l’adulte, de l’asthme, des problèmes de peau (eczéma, psoriasis notamment) ainsi que les troubles du développement de l’enfant.
Grands Thermes de La Bourboule :
Les « Grands Thermes », reconnaissables à ses étonnantes coupoles orientales furent commandés en 1876 par la Compagnie des Eaux Minérales de La Bourboule à l’architecte Agis-Léon Ledru (ouverture en 1877). Il était important que l’architecture soit vue et qu’elle se distingue : symbole de prospérité et transport de l’imaginaire. Sitôt arrivé à la station, le dépaysement devait être total. Par l’évocation d’une « Byzance » perchée sur les hauteurs du paysage auvergnat, le séjour promettait d’être somptueux avec sa part de rêve et d’exotisme. Plus d’un siècle plus tard, la magie opère toujours. Les Grands Thermes de La Bourboule sont les thermes municipaux de la ville.
Le casino Chardon :
C’est le casino actuel de La Bourboule. Construit à partir de 1892 pour Monsieur Chardon par les architectes parisiens Émile Camut (fin XIXe siècle) et Georges Vimort (extensions des années 1920). Ses façades sont ornées de mosaïques et le décor intérieur de la salle de jeu est stuqué en plus de comprendre des chapiteaux, colonnes et pilastres. Le hall est couvert par deux fausses coupoles sur pendentif. Il remplaçait le tout premier casino, ouvert dans les années 1870, construit en bois et aux allures de saloon.
Le casino des Thermes / La Mairie :
C’est aujourd’hui la mairie de La Bourboule avec une partie occupée par l’office du tourisme. Il fut construit en 1891 par l’architecte Harvey-Picard sur commande de la Compagnie des Eaux Minérales. Il fut racheté en 1910 par la municipalité pour y installer la mairie dès 1913. C’est un monument remarquable pour sa façade et son balcon soutenu par quatre Cariatides, pour la mosaïque du hall d’entrée et pour son imposant escalier d’honneur richement sculpté et orné.
La pâtisserie Rozier :
Construite en 1920 par l’architecte Louis Jarrier, elle arbore une façade Art nouveau composée de mosaïques réalisées par Alphonse Gentil et François Bourdet ainsi qu’une loggia s’ouvrant sur la rue. Bâtisse inscrite aux Monuments Historiques depuis 2001.
Le Parc Fenestre et le ruisseau de Vendeix :
Ce parc pour enfants de 12 hectares a été créé dès les débuts du thermalisme à La Bourboule, au XIXe siècle. Il est niché entre le mont Charlannes et le quartier haut de Fenestre au Sud de La Bourboule. Il se compose de vastes pelouses, de bassins, de bosquets, d’espaces arborés, d’allées bitumées, de chemins et d’un café-bar. Le ruisseau « Le Vendeix » traverse le parc avant de se jeter dans La Dordogne dans le centre de La Bourboule.